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Pour sourire...ou rire !
L'Histoire n'était pas ma matière préférée, mais eux , là, ils font fort !
Quelques citations :
Il ne faut pas avoir peur des chevaux sous le capot mais de l'âne derrière le volant.
Belle mère à l'arrière, voyage en enfer.
Ce ne sont pas les enfants sur la banquette arrière qui font les accidents mais bien les accidents sur la banquette arrière qui font des enfants.
Il ne faut pas boire au volant, il faut boire à la bouteille.
L'argent n'a pas d'odeur mais quand on n'en a pas, ça sent la merde.
Quand tu t'adresses à une femme, il faut un sujet, un verbe et un compliment.
Les femmes qui se vantent d'être courtisées par beaucoup d'hommes ne devraient pas oublier que les produits à bas prix attirent beaucoup de clients.
La cravate est un accessoire permettant d'indiquer la direction du cerveau de l’homme.
Les hommes sont comme des arbres : avec l'âge ils deviennent dur de la feuille et mou de la branche
Si un homme ouvre la portière de sa voiture à sa femme, c'est que l'une des deux est neuve.
Pour les riches : des couilles en or. Pour les pauvres : des nouilles encore.
Le suppositoire est une invention qui restera dans les annales.
Un comprimé n'est pas forcément un imbécile récompensé.
Dites à quelqu'un qu'il y a 300 milliards d'étoiles dans l'univers et il vous croira. Dites lui que la peinture n'est pas sèche et il aura besoin de toucher pour en être sûr.
Certains jouent aux échecs, d'autres les collectionnent
Quand le sage pointe la lune, l'idiot regarde le doigt.
Il n'a pas inventé la poudre, mais il n'était pas loin quand ça a pété.
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l'ouvrir et ne laisser aucun doute sur le sujet.
C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que tant de gens paraissent brillants avant d'avoir l'air con.
Merci Danielle ;o)
Poésie bretonne :
La nuit était noire
La lune était blanche
Nous étions seuls
Elle et moi
Sa peau si douce
Ses yeux si bleus
Je savais ce qu'elle
Attendait de moi
Je lui dis de se calmer
De ne pas se rebeller
Je fis courrir ma main
Doucement sur ses reions
Je n'y connaissais rien
Mais je fis de mon mieux
Pour placer mes doigts
Délicatement entre ses seins
Je me souviens de ma peur
De l'excitation de mon coeur
Jusqu'à ce moment béni
Où ma honte s'enfuit
Après quelques Hisse et Han
Il ne fallut pas longtemps
Pour qu'en un jet puissant
Jaillisse le liquide blanc
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Enfin, j'avais réussi !
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J'étais un homme à présent !
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C'était la toute première fois cet automne...
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Que je trayais une vache Bretonne.
Merci à Barbizon ;-)
Tags : homme, font, arriere, femme, boire
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Commentaires
bonjour
je viens te souhaiter un bon samedi avec ta famille et toutes tes 4 pattes que je caresse ,la poèsie Bretonne excellente j'ai bien aimer bisous à vous tous profiter ton amie dan
Bonjour Mureil
ah ça rire je suis toujours présente
pas mal la bretonne :o))
bonne journée Muriel
bises et caresses aux poilus xxxx
Eh bien Muriel, pauvre France ... stupéfiante cette vidéo et ils ont l'air de le dire et penser sérieusement c'est çà le plus grave !!
Mes bises Muriel, les enfants viennent déjeuner aussi je me dépêche non sans te souhaiter un doux week end mon amie !!
Nicole
Hou la la, tu m'as bien attrapee la!...je me disais bien que cette poesie me disait quelque chose...tes petites phrases sont pas mal non plus...on se lache, c'est le week-end! Bisous chere Muriel, Sylvie
coucou Muriel
tu te doutes bien que c'est la poésie bretonne que je préfère !!! mais nos jeunes lycéens ne sont pas mal non plus !!!!!
gros bisous et bonne journée
MITOU
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ça fait toujours du bien !...
un peu de rire ....les hommes vont être contents !... Lol...))
Bonne soirée. bizzz